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Je suis souvent retournée chercher des légumes chez le vieux fermier, je profite de ses légumes et de sa bite énorme, toujours prête à satisfaire mes désirs. Mais depuis quelques temps chaque fois, soit mon mari m’avait accompagnée, ou le hangar était rempli de monde. Le vieil homme a bien essayé de me tripoter discrètement mais je l’ai rabroué, plusieurs fois.
Il n’a pas été très content, de ne rien pouvoir tenter. La dernière fois, il a fait franchement la gueule et m’a presque arnaqué sur le prix des légumes. Il maugréait tout seul. Profitant d’un court instant ou nous étions seuls, et ne voulant pas le fâcher, car bien qu’il soit vieux, laid et ronchon, j’espérai encore profiter de son gros pénis, et du prix des légumes, je l’apostrophai.
— Vous savez, j’adore votre bite, j’ai franchement aimé être attachée sur l’étal, et j’ai vraiment joui avec votre queue énorme, c’est super…
— Oui, mais me coupa-t-il, tu mérites une punition de me délaisser ainsi! Je dépéri, de ne plus te baiser! Et lorsque tu reviendras toute seule ma vengeance sera terrible! Je suis vraiment très frustré de ne plus baiser avec toi. Même s’il fait chaud, je vois que tu portes toujours ton porte-jarretelles, salope. Tu n’as pas de soutien-gorge! Penche-toi que je puise voir tes seins.
Discrètement , je déboutonne un bouton et je me penche sur un étal.
— Ouai… ils sont toujours aussi beaux…bien sûr je ne peux pas les toucher…
— Ben non… dis-je en montrant mon mari du menton
— Tu vas voir Salope, tu ne perds rien pour attendre… Tu n’imagines même pas ce que je vais te faire subir! Regarde ma bite, tu me fais bander comme un bouc, salope!
Marmonne-t-il entre ses dents. Je suis curieuse, je me demande bien en quoi ma punition sera terrible. Je ne sais pas ce qu’il allait inventer. Mais ma curiosité est piquée. Vient-il de me donner un indice, en faisant allusion à un bouc?
— Alors j’ai ta parole, tu viendras, regarde moi, on dirait un vieux bouc en rut!
Il vient encore de faire allusion à cette bête! Oui, c’est sûrement cela, me faire prendre par cet animal, il a un troupeau caprin. Cette idée me fait rougir. L’image s’imprime dans ma tête et ne me quitte pas du reste de la journée.
Dans la nuit, je fais un rêve, ou plutôt un cauchemar. Dans ce songe onirique, j’arrive dans le hangar comme promis pour me faire punir, le vieil homme me saute dessus, il m’entraîne vers le bâtiment des chèvres. Oui c’est ça la punition, mon ventre s’embrase, je capitule, le suis sans résistance.
Dans un coin près d’un pilier, il y a une assez grosse botte de paille rectangulaire. Il y jette dessus une couverture.
— Tu es bien venue pour que je te punisse! Tu as juré de m’obéir, j’ai eu ta parole?
— Ou… Oui balbutiai-je… je vous l’ai promis.
— Alors déshabille toi! Tu ne gardes que tes bas et ton porte-jarretelles, j’adore te voir ainsi…
— Voilà, dis-je après avoir quitté ma robe et ensuite?
— Tu te couches sur cette botte de paille, c’est ça ainsi, approche tes fesses du bord, met bien des pieds sur le sol. Parfait! Donne moi tes poignets…
Il me les lie avec une fine cordelette, les fait passer derrière ma tête et les attache à un anneau fixé dans la poutre. Il se recule pour admirer le tableau. Va-t-il encore me prendre et me sodomiser ainsi? Cela m’excite..
— Écarte les cuisses, ma petite chérie, Je vais goûter ton foutre.
J’obéis, à genoux, il se positionne entre mes jambes et sa langue part explorer, ma chatte, ses caresses buccales ne tardent pas à me faire mouiller abondamment.
— Ouiiiii, c’est bon… gémis-je, continue, ouiiii
— C’est parfait… toujours aussi bonne ta mouille!
Avec un verre il puise dans un seau à côté, une lotion qu’il me verse sur les seins, sur le ventre et sur la chatte.
— Ehhhhhhh! Vous faites quoi!
— N’ai crainte, ce n’est qu’une solution saline… tu vas apprécier!
Il écarte mes grandes lèvres vaginales et en fait couler dans ma chatte.
— C’est quoi ce truc?
— Voilà, tu es prête, attends je reviens.
Je l’entends ouvrir la porte d’un box et il revient, mais le vieux Louis qui approche, n’est vêtu que d’un tablier de cuir, ouvert sur le devant. Son sexe est énorme, dressé vers le plafond. Un méchant rictus déforme son visage, ses yeux jaunes semblent lancer des éclairs. Il tient en laisse un immense bouc noir au pelage et aux cornes magnifiques. Mon cœur fait un bond dans ma poitrine, je gigote en tous sens sur la paille, mais je suis attachée… Il s’approche lentement.
— Noooooonnn pas ça, pas ça…
— Nttttt , Nttttt…. rappelle toi tu as juré de faire tout ce que je voudrais… Calme toi, il est très doux… Il s’appelle Baphomet, le bouc est l’un des animaux, avec le taureau, ils sont les symboles à l’origine du culte du phallus. On attribue aux boucs l’attribut de la fécondité mêlée à la perversité, la luxure ce qui au niveau de la perversion est tout à fait ton cas. Il transmet cette aptitude aux hommes, d’où la pratique d’accouplement d’un bouc et d’une humaine. C’est sous Ataşehir travesti la forme d’un grand bouc noir aux yeux étincelants que le diable se fait adorer et il est surtout associé au désir sexuel. Il est très bien dressé, tu vas voir…
Comme dans les mauvais rêves je ne peux plus bouger
Il approche l’animal, de ma poitrine. Celui-ci sent le sel répandu et se met à me lécher les seins.
Je n’ose pas trop bouger de peur qu’il me morde, rien de tel n’arrive et je me détends petit à petit.
Le vieux fermier entoure de sel mon téton droit qui commence à durcir et à s’étirer, le bouc l’aspire de ses babines, et le lèche avec gourmandise, puis le gauche eut droit au même traitement. Bien que mon ventre soit toujours noué par l’appréhension, je me décontracte lentement, cette caresse n’est pas du tout désagréable bien au contraire, mes tétons pointent fièrement, sa barbiche me frotte la poitrine délicieusement. De petits gémissements de plaisir commencent à sortir d’entre mes lèvres.
— Salope on dirait que tu aimes ça! Voyons voir plus bas…
Il tire sur la longe pour lui amener la tête sur mon pubis. La grosse langue me parcourt lentement le ventre. Instinctivement je referme les jambes.
— Non…. laisse tes cuisses ouvertes, ou je t’attache les chevilles, je suis sur que tu vas aimer son cunnilingus…
En tremblant légèrement, je desserre lentement mes cuisses, le museau du ruminant se faufile à la base de ma fente, qui ruisselle de lotion saline et mon foutre mélangé. Je soulève ma tête et regarde le bouc fixement avec appréhension.
Il hume mon odeur, ses lèvres se retroussent, deux ou trois fois puis sa langue se met à me lécher le monde vénus. Je frissonne.
— Tu vois, je te l’ai dit, il est vraiment doux. Tu aimes? Oh oui j’en ai l’impression… attends…
Avec deux doigts, il écarte mes grandes lèvres, la pointe de l’organe buccal de l’animal pénètre à l’intérieur de ma chatte, malgré moi je tremble de plaisir et gémis plus fort. Méfiante, je regarde toujours les mouvements de l’animal.
— Attends je vais bien dégager ton clitoris, voilà… il va le lécher.
Les trois coups de langue râpeuse sur mon petit bouton rose me tirent un cri d’extase, je me tortille sur la paille, ma respiration s’accélère.
— Eh bien ma salope tu aimes ça! Allez on va passer aux choses sérieuses!Je suis persuadé que tu va prendre ton pied!
Il fait poser les deux pattes avant du bouc de chaque coté de moi. Ce n’est pas possible l’animal bande. Il sait pertinemment ce qui ce qui va suivre. Je vois ses deux grosses couilles de 10 cm de haut et de 7 cm de large chacune, pendre dans son scrotum de 30 cm. Le vieux Louis prend délicatement le sexe assez conséquent, rigide et rose et frotte doucement le bout du pénis un gland de 5 cm, le long me ma fente ruisselante, il le fait entrer petit à petit entre mes lèvres, le bouc docile se laisse faire. Je laisse retomber ma tête, qui maintenant dodeline de droite à gauche sur la paille. Mon cœur bat le chamade, mon souffle est court… attendant la pénétration qui tarde à venir…
— Alors… tu veux qu’il te baise?
— Ouuuuiiiiii, m’entendis-je répondre…
Il positionne le gland à l’entrée de mon orifice vaginal, la grosse tige flexible s’enfonce inexorablement en moi, l’animal donne un coup de rein et une énorme quantité de sperme déferle dans ma chatte.Je hurle de jouissance. Il se retire.
— Ne bouge surtout pas, il n’a pas fini, il faut qu’il éjacule trois ou quatre fois, m’ordonne le vieux fermier, c’est la nature.
Je suis tétanisée par la jouissance, quand il me pénètre à nouveau je lève le basin et enroule mes jambes autour de son corps, son phallus bien enfoncé en moi il déverse encore et encore sa semence chaude… Au quatrième coït je crie à nouveau… Louis déverse son sperme a grand jet sur mes seins et j’ouvre les yeux… tremblante de jouissance.
— Que t’arrive-t-il, me demanda mon mari..
Réveillé en sursaut, il allume les appliques lumineuses.
— Tu es en sueur, tu viens de crier…
— Oh rien, un mauvais rêve, un vrai cauchemar! Dis-je la gorge sèche, me levant pour aller boire un verre d’eau.
— Mauvais? Tu es sûre, regarde la tâche de foutre qu’il y a sous tes fesses… Tu devais aimer te faire baiser petite salope!
J’étais toute chamboulée, pas que le vieux Louis me fasse prendre par un bouc pour me châtier! Ce qui ne me semble pas normal c’est que j’ai joui sous les assauts de l’animal! Voila que je tombe dans la zoophilie! Je me rassure ce n’était qu’un rêve, ce doit être mon subconscient qui me dit de ne pas aller me fourvoyer dans les chemins de la luxure! Mais tu as aimé… salope!
Je décide qu’à la prochaine occasion, je me laisserai punir, en espérant toutefois à ne pas avoir affaire au bouc, cela n’a été qu’un rêve bien que stressant au début mais très excitant la fin! Cette punition risque n’être que de nature sexuelle, car il m’a presque ordonné de raser entièrement mes poils pubiens, lors de l’appel téléphonique, ou il m’a encore demandé expressément Ataşehir travestileri de venir le voir.
Son énorme bite me fait connaître le nirvana de la jouissance et je suis curieuse du châtiment, alors j’ ai obéi! Je lui ai demandé si le mardi suivant je pouvais venir chercher des légumes et avoir ma punition, bien qu’il ne soit pas ouvert. Il s’empressa de me donner son accord et que ça tombait bien car ce jour là, il était tout seul à la ferme.
— Et tu sais que tu auras droit à une punition! Tu feras tout ce que je demande! Je te fais cadeau de mes légumes… Mais toi, tu ne me donnes plus rien, il y a une éternité que je ne t’ai pas touchée!!! On est bien d’accord précisa-t-il, j’ai ta parole! Tu la mérites cette punition. Et n’oublie pas de te raser.
— Oui, oui, vous pourrez me punir… je ferai ce que vous voudrez… Mais comment me punirez-vous?
— Tu verras bien bien… tu t’en souviendras! Salope.
En quoi consiste cette punition « si terrible », cela attise ma curiosité malsaine. Je suis presque prête à me faire baiser par le bouc! Le jour dit, j’arrive en milieu d’après midi devant le hangar. Il est derrière la fenêtre à guetter mon arrivée. L’ouverture surplombe le sol d’environ 1,5 mètre. Je me gare comme d’habitude, perpendiculairement à celle ou se trouve le vieux, à environ deux mètres du mur, je distingue parfaitement son visage.
J’ouvre en grand ma portière et pivote sur mon siège me tourne vers lui, en restant assise les fesses posées sur le rebord du siège. Je me dis que je vais d’abord l’exciter à mort, ma punition n’en sera peut-être que meilleure! J’ai pris goût à me masturber lorsqu’on me regarde. Il m’épie… il va être servi.
Je jette un coup d’œil aux alentours, le parking et les abords sont déserts. J’écarte doucement mes longues jambes gainées de noir. Bien qu’il fasse assez chaud, suivant ses désirs, j’ai mis des bas et un porte-jarretelles, sachant que cette lingerie excite les hommes. J’ouvre ma jupe blanche sur mes cuisses, bien plus haut que les attaches des jarretières, mes mains montent sur la chair nue de mes cuisses vers le triangle transparent de mon string. Je l’écarte doucement dévoile la fente de ma vulve, avec deux doigts je sépare mes lèvres pour qu’il puisse voir l’intérieur rose de mon Vagin. Mon majeur s’insinue y pénètre, je ne quitte pas des yeux le vieux à la fenêtre. Il doit sortir son énorme verge et commencer à se masturber. Il me semble voir bouger des ombres à la fenêtre du premier étage…
Je me soulève, relève ma jupe jusqu’à ma taille et ôte mon string. Puis j’écarte largement les jambes offrant aux regards du vieux ma chatte béante. Je relève doucement mon fin tee-shirt blanc dont les bretelles se nouent sur mes épaules. Mes deux seins soutenus par le demi-soutien gorge noir jaillissent. Les mamelons sont déjà durs, je les saisis entre mes doigts et les fais rouler pour les ériger encore plus. Ils réagissent à la caresse et se dressent encore plus arrogamment. Il me semble que des silhouettes se profilent aux fenêtres supérieures, mais bon, je n’en suis pas sûre… cela fait peut-être parti de la punition, me faire espionner par d’autres hommes. A cette idée une onde de chaleur me traverse le bas ventre, ma chatte s’humidifie.
A son expression, je remarque que le vieux ne perd pas une miette du spectacle.
Mes mains descendent sur mon sexe, j’écarte à nouveau mes lèvres et entre deux doigts dans ma vulve moite. Commence de lents allers et retours tout en fixant la fenêtre. J’ adjoins un troisième doigt, je pense à la grosse bite du vieux qui doit se tendre au maximum. Il doit se branler, j’entre mes cinq doigts dans mon conduit vaginal. Maintenant je mouille abondamment, ma main glisse petit à petit à l’intérieur de ma vulve qui se dilate de plus en plus. Car sachant que sûrement la punition sera énorme, un bon doigté facilite les grosses insertions. Tout en fixant le vieil homme dans les yeux, j’entre la moitié de ma main à l’intérieur de mon sexe. Et commence des va et vient. Le plaisir monte, de me savoir regardée ainsi, peut-être par plusieurs hommes.
Mais je ne veux pas me faire jouir ainsi. Je stoppe, réajuste mes vêtements et grimpe les marches menant au hangar, je n’ai pas remis mon string.
Il m’attend, il me bondit littéralement dessus, son énorme sexe en érection et ses testicules monstrueuses sortant de son pantalon. Il m’enlace sauvagement se plaque contre moi et ses lèvres se scellent sur les miennes. Sa langue force ma bouche, je le laisse faire, je lui rends son baiser, bien que son haleine ait des relents de vinasse. Il me prend la main, la met sur son pénis, je commence à le masturber doucement, puis plus rapidement,calottant et décalottant son gland. Il gémit de plaisir, et éjacule presque aussitôt dans ma main, le sperme chaud coule dans ma paume, il y en a une quantité importante. Il me lève la main vers ma bouche et me demande de lécher le liquide poisseux répandu. Je m’exécute, le lapant à petits de coups de langue et l’avale au fur et à mesure, en le regardant dans les yeux, il Travesti ataşehir a l’air d’apprécier.
— Tu as l’aime mon sperme, petite salope, tu as l’air de te régaler. Tu as vu la quantité, il était temps que tu viennes! Mes couilles allaient éclater!
— Ouuiiiii, je suis étonnée, ta semence a vraiment bon goût!
Puis je m’accroupis, saisis l’énorme hampe dans ma bouche et aspire le sperme qui reste à l’intérieur du méat, il a un hoquet de plaisir en se raidissant.
— J’ai bien aimé ton exhibition dans la voiture, mais il me semble que tu es venue chercher ta punition, petite garce? Tu sais ce que m’as promis, tu le mérites, cela fait presque deux mois que je n’ai pas pu te toucher… et surtout te baiser. Tu te refusais à moi… Mais maintenant tu as une dette envers moi… n’est ce pas?
— Oui… c’est vrai j’ai profité de vos légumes et je veux bien être punie, mais ce sont les circonstances qui…
— Bon, je m’en fou! Nous allons passer aux choses sérieuses!!
La vision du bouc me pénétrant et éjaculant en moi me traverse l’esprit. Je suis curieuse de savoir ce qu’il me réserve. Il me relève, une de ses mains me caresse un sein, me pinça fortement le mamelon, tandis que l’autre passe sous ma jupe et il enfonce trois longs et gros doigts rugueux dans mon vagin trempé. Son pouce me caresse le clitoris.
— Ah tu m’as obéi tu t’es rasée. Mais tu mouilles, tu es une vrai petite garce… Tu aimes le sexe… hein? Je te fais de l’effet avec ma grosse bite…
Mon gémissement de plaisir, le conforte dans ses dires. Ensuite, il ferme à clef la porte du hangar, met la clef dans sa poche. Il m’entraîne vers des escaliers et me demande de les gravir devant lui. Nous n’allons pas vers l’étable, ouf!Je sens son regard fouiller sous ma courte jupe. Il tient toujours son sexe, flasque maintenant, à la main. En grimpant j’entends des chuchotements à l’étage. Je ne me suis pas trompée, il y a bien des mecs.
Je débouche sur une sorte de mezzanine, deux hommes refluent vers une grande pièce. Trois lits, une table, des chaises, une espèce de cuisinière à gaz, un évier, une armoire et un frigo l’équipent. Il y a aussi deux gars basanés qui me fixent intensément l’air éberlués. La lumière entre à flot par deux grandes fenêtres. Je ne peux plus me défiler maintenant… en plus le hangar est fermé à clef. Je vais être punie! Et je comprend en quoi elle va consister la punition, et la raison pour laquelle il m’a demandé de me raser!
— Ceux sont mes saisonniers, me dit le vieux paysan. Ce sont des marocains, ils n’ont pas beaucoup de distraction. Je leur ai promis, en compensation de quelques heures supplémentaires, un petit extra…! Tu sais que tu dois m’obéir… c’est notre contrat! Ils ont sûrement apprécié le spectacle que tu nous as offert dans ta voiture, on est juste à l’aplomb ici. Ils étaient aussi au balcon, pour voir que tu t’es régalée avec mon sperme… et je pense que ça fait au moins quatre mois qu’ils n’ont pas baisé! Et de par leur religion ils aiment que les filles aient la chatte glabre… Je pense qu’ils vont se régaler…
Les deux hommes, sortirent leur pénis, les deux sexes circoncis, presque noirs, dardent leurs glands nus vers le plafond. Ils se masturbent doucement l’air hilare… en pensant à ce qui allait se passer… Les bites ne sont pas énormes, mais d’une bonne taille.
Je vais être la proie de ces hommes sûrement affamés de sexe. A cette pensée je frissonne. Sous l’effet de l’appréhension et d’une sorte de désir malsain, mes tétons se tendent sous le mince tissu transparent de mon tee-shirt.
— Tu es une vraie salope… me dit une petite voix dans ma tête… C’est ta première expérience interraciale, alors pourquoi pas avec deux arabes… et cela t’excites, ne te mens pas petite pute! Regarde leurs bites, elles te plaisent, non?
— Dis donc on dirait que ça te fait de l’effet, me dit le vieux en s’apercevant que les pointes turgescentes de mes tétons tendent le tissu du tee-shirt. Tu portes ton demi soutien gorge noir, petite garce? Attends, on va leur laisser deviner tes mamelons!
Joignant le geste à la parole, il saisit à travers le tissu un téton dans sa bouche, il l’aspire. Dépose de la salive sur mon aréole et l’étala avec sa langue, pour bien imprégner le tissu transparent. Celui-ci se plaqua étroitement sur le mamelon, on voit distinctement sur mes aréoles les tubercules de Montgomery devenus saillants, du fait de l’excitation, sous la forme de petits nodules de coloration brun foncé. Il se recula pour juger de l’effet.
— Parfait, dit-il toujours aussi érectile tes tétons!
Il me fait avancer vers la lumière de la fenêtre, on aurait dit qu’on avait découpé un bout de tee-shirt et que mon téton sortait par le trou. De voir leurs regards fixant intensément mon sein, commence à m ‘exciter sérieusement, de les voir se masturber plus vigoureusement aussi.
— Vous avez vu les gars… qui veut faire l’autre?
Ils se bousculent presque, mais le plus grand celui qui avait l’air du chef, passe devant son copain. J’ai un petit recul quand il me saisit entre les lèvres, le second téton. Il l’aspire, le mordille, puis il fait comme le fermier, il l’enduit de salive, pour bien accroître la transparence du tissu. Cela dure un peu plus longtemps, ma poitrine se cambre sous la caresse. Il passe à l’autre et l’humecte à nouveau, tout en le mordillant.
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